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Titre	30 Marches (c.1891)
Référence article	3197348
Catégorie	Musique d'ensemble
Sous-catégorie	Trompettes
Instrumentation	4Trp (4 trompettes en si bémol); Tmp adlib
Pays de publication	Suisse (ch)
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Référence article / fournisseur *	cliquer ici
Compositeur	Cerclier, Jules
Niveau	3
Informations complémentaires/contenu	Über Cerclier's Leben ist wenig bekannt und noch weniger über seine 30 Märsche. Diese Sammlung wurde von G. Hartmann in Paris verlegt und zum Preis von 10 Frs. verkauft. Das Veröffentlichungsdatum steht nicht drin, aber die Tatsache, dass Cerclier auf dem Umschlag als Professor des Conservatoire und Chevalier de la Légion d'Honneur vorgestellt wird, bedeutet dass es weder vor 1888 noch nach 1895 sein kann. Eine spätere Quelle gibt jedoch 1891 als Veröffentlichungsdatum an. Jeder Marsch ist einer militärischen Persönlichkeit des Landes gewidmet, mit Angabe deren Dienstgrades. Die meisten gehören berittenen Einheiten an, was vermuten lässt, dass die Märsche wahrscheinlich für berittene Feldtompeter bestimmt waren. Der bedeutendsten Persönlichkeit der Sammlung ist der Marsch Nr. 1 gewidmet: Charles Louis de Saulces de Freycinet (1828-1923); er war französischer Kriegsminister von 1888 bis 1893, dann von 1898 bis 1899. Diese Märsche sind, wie es im Titel steht, für Naturtrompeten und Pauken ad libitum. Die höchste Note ist ein G auf der letzten Linie des Systems, während das E zwischen den 4. und 5. Linien die durchnittliche Obergrenze ist. Dieses hohe Register entspricht jenem der Trompetenschulen des 19. Jhd, z. B. der von Dauverné. Die relativ späte Veröffentlichung widerlegt etwas die traditionnelle Behauptung, die Praxis der Naturtrompete sei Ende des 19. Jhd ausgestorben gewesen, wegen zunehmender Beliebtheit des Kornetts und der Ventiltrompete. Es scheint, dass jedenfalls in Frankreich, die Trompeter eine gewisse Kompetenz im Umgang mit den Naturblechblasinstrumenten erhalten haben.4 Diese Märsche entsprechen der militärischen Trompetentradition die von Altenburg, Fantini und Bendinelli, über Thomsen und Lübeck zu den Fanfaren-Ensembles der ersten Hälfte des 20. Jhd führen. In der Tat sind im heutigen Frankreich diese militär- oder para-militärischen Besetzungen immer noch beliebt und aktiv. Auch wenn diese Märsche auf Anhieb stereotyp und wiederholend scheinen, demonstriert Cerclier nichtsdestotrotz eine gute musikalische Erfindungskraft und Kreativität. Zum Beispiel scheinen sie wirklich erfunden zu sein und nicht einfach weiterentwickelte traditionelle französische Militärsignale. Obwohl gewissen Schemata folgend - zum Beispiel einstimmige Einleitungen und machtvolle Schlüsse - sind die melodischen Linien, die Formen, die Verteilung der solistischen Aufgaben, die Klangfarben und rhythmischen Strukturen, sehr abwechslungsreich. Diese Märsche sind tatsächlich lebendig und gefällig zu spielen, sowohl in Konzerten als auch als Fanfaren für besondere Anlässe. If we know little of Cerclier's life, we know even less about his 'Trente Marches pour Trompette d'Ordonnance'. They were published by G. Hartmann in Paris and sold for the price of 10fr. The marches have no date of publication, but because the title page recognizes Cerclier as a professor at the Conservatoire and a Chevalier de la Légion d'Honneur, they could not have been published before 1888 or after 1894. 1891 is listed as their original date of publication in a later printed source. Each marche carries a dedication to a prominent French military figure and includes the dedicatee's military appointment. Most of the dedicatees were affiliated with mounted regiments, meaning that the marches were probably intended for actual use by mounted trumpeters. The most distinguished dedicatee is that of the first march of the set, Charles Louis de Saulces de Freycinet (1828-1923), who served as the French minister of war from 1888-1893 and 1898-1899. The marches themselves are, as the title states, for natural trumpets with optional timpani. The highest note played is a G on top of the treble clef, and a top space E is the upper limit of the working register in general. This upper range is in keeping with the ranges seen in earlier nineteenth-century trumpet methods such as Dauverné's. The late publication date of these marches defies the traditional wisdom that natural trumpet playing died out in the late nineteenth-century due to the popularity of the cornet and valved trumpet. It would seem that, at least in France, trumpeter's retained a degree of proficiency equivalent to that of the early nineteenth-century on the valveless instrument.4 These marches participate in a tradition of military trumpeting extending back through Altenburg, Fantini, and Bendinelli to Thomsen and Lübeck and forward to the bugle ensembles of the early twentieth century. In fact the military trumpet ensemble continues to flourish in France to the present. While the marches may appear to be formulaic and repetitive at first glance, Cerclier actually shows a good deal of imagination and creativity in his compositions. For example, they seem to be originally composed rather than based upon any known French battlefield trumpet calls. While the marches share certain affinities, such as the thin textured openings and loud closings, the melodic lines, forms, use of soloists, textures, and rhythms vary considerably. In all, they are exciting, fun to play, and suitable both in concert and as fanfares for special occasions. Si l'on ne sait que bien peu de choses de la vie de Cerclier, on n'en sait encore moins sur ses 'Trente Marches pour Trompette d'Ordonnance.' Ce recueil a été publié par G. Hartmann à Paris et vendu au prix de 10 frs. La date de publication ne figure par sur le recueil édité, mais le fait que Cerclier soit présenté sur la couverture comme professeur au Conservatoire et Chevalier de la Légion d'Honneur, indique qu'elle ne peut avoir eu lieu avant 1888 ni après 1894. Toutefois une source postérieure précise 1891 comme date de publication.3 Chaque marche est dédiée à une personalité militaire française dont le grade est indiqué. La plupart des dédicataires sont liés à des unités montées, ce qui laisse à penser que ces marches étaient probablement destinées à être jouées par des trompettes à cheval. Le plus éminent des dédicataires est celui qui figure en tête de la première marche du recueil, Charles Louis de Saulces de Freycinet (1828-1923), qui fut ministre français de la guerre de 1888 à 1893, puis de 1898 à 1899. Ces marches sont, comme le titre le suggère, pour trompettes naturelles et timbales ad libitum. La note la plus aiguë est le Sol au-dessus de la portée, tandis que le Mi situé entre les 4e et 5e lignes représente la limite supérieure moyenne. Ce registre aigu correspond à celui que l'on trouve dans les méthodes de trompette de la première moitié du XIXe siècle, comme par exemple celle de Dauverné. La publication relativement tardive de ce recueil défie l'affirmation traditionnelle que la pratique de la trompette naturelle avait disparu à la fin du XIXe siècle en raison de la popularité grandissante du cornet et de la trompette à pistons. Il semble que, du moins en France, les trompettistes aient gardé un certain degré de compétence par rapport à la tradition du début du siècle en ce qui concerne les instruments naturels.4 Ces marches font partie de la tradition militaire de la trompette qui remonte d'Altenburg, Fantini et Bendinelli à Thomsen et Lübeck, menant aux batteries et fanfares du début du XXe siècle. En fait, ces formations militaires ou para-militaires sont toujours populaires et vivantes en France de nos jours. Si ces marches peuvent paraître au premier abord stéréotypées et répétitives, Cerclier démontre néanmoins une bonne dose d'imagination et de créativité dans son écriture. Par exemple, elles semblent avoir été véritablement inventées, plutôt que de s'inspirer des sonneries militaires traditionnelles françaises. Bien qu'elles partagent certains canevas, comme des thèmes d'entrée à une voix et des conclusions puissantes, les lignes mélodiques, les formes, l'inclusions de solistes, les textures sonores et les rythmes varient considérablement. En fait, ces marches sont vivantes, plaisantes à jouer aussi bien en concert que comme fanfares célébrant des occasions particulières. Gewicht: 0.486
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