Titre	Classical Concerto #2
Référence article	3197702
Catégorie	Orchestre/Musique de chambre
Sous-catégorie	Orchestre à cordes
Instrumentation	StrO (orchestre à cordes)
Format/Umfang	StmSet (Stimmenset ohne Partitur)
Pays de publication	Suisse (ch)
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Année de publication	1953
Compositeur	Sulek, Stjepan
Durée	15:00
Informations complémentaires/contenu	Das Classical Concerto Nr. 2 in G-Dur für Streicher wurde 1952 geschrieben,dessen Uraufführung fand am 23. April 1953 in Zagreb (Kroatien) statt, unter der Leitung von Milan Horvat, dem Widmungsträger. Dieses Werk, 'Zur Geistes- und Denkensfreiheit' untertitelt, ist ein Concerto grosso mit einer Solistengruppe (3 Geigen, Bratsche und Cello), wie es im barocken Concertino üblich ist. Ziemlich unüblich ist jedoch das Orchester, das mit drei anstatt zwei Geigengruppen besetzt ist. Für den Komponisten hat sich diese Musik wie eine Erholpause zwischen zwei dramatische Werke (das 2. Klavierkonzert mit Orchester in Cis moll und die 4. Symphonie in D moll) eingegliedert. Sie zeichnet sich durch meisterhafte Exposition der Stimmen aus, die, auf dem Höhepunkt, eine aussergewöhnliche Klangfülle und -Tiefe ausdrücken. Das Werk bildet thematisch ein Ganzes: sämtliche Hauptthemen sind Derivate aus dem ersten Thema des ersten Satzes. Jeder Satz ist identifizierbar am Tempo und einem zusätzlichen Kennzeichen mit Doppelbedeutung: symbolisch kündigt es einen gewissen Inhalt mit versteckter Botschaft an und konkret jeweils ein anderes technisches Vorgehen. So deutet die Fanfare des ersten Satzes ein feierliches Ereignis an, das mit den etwas beschränkten Mitteln eines Streichensembles ausgedrückt wird, mit Effekten von aus der ferne klingenden Fanfaren, die geschickt zwischen Solisten und Orchester alternieren. Der Choral des 2. Satzes ist von grosser polyphoner Vollendung, ein Höhepunkt in Suleks Gesamtwerk. Über der 5-stimmigen Fuge, vom Orchester mit Dämpfer gespielt, schwebt schwerelos der Choral in Form eines fünfteiligen Kanons, der eigentlich eine Erweiterung des Fugenthemas ist. Dieses sanft-ätherische musikalische Geriesel wird vom Vivacissimo des Finals unterbrochen. Dieser letzte Satz ist eine Fuge mit zwei Themen in Sonatenform. Das erste Thema ist eine andere Version des Hauptthemas des Werkes, das zweite ist ein offensichtlicher Abstecher (selten in Sulek's Schrift) in die volkstümliche Musik ist. (Text von Dubravko Detoni) The Classical Concerto No. 2 in G major for strings was written in 1952 and was first performed in Zagreb on 23 April 1953, conducted by Milan Horvat, to whom the Concerto is dedicated. The work, subtitled 'For the Freedom of Mind and Thought,' follows the concerto grosso model of the Baroque Era and features a small group, consisting of three violins, viola, and cello being employed as the concertino ensemble that is contrasted against the full orchestra, which, in a departure from standard orchestral instrumentation practices, includes three violin sections instead of the usual two. This music was written during a respite for the composer between his two dramatic compositions (the Second Concerto for piano and orchestra in C# minor and the Fourth Symphony in D minor) and is characterized by the masterly exposition of the parts, which, at their high points, express an extraordinary fullness and depth of sound. Additionally, all of the thematic material in the piece is derived from the first theme of the first movement, and this serves as the principal unifying element of the work as a whole. The Concerto is written in three movements, each of which is identified by both a tempo marking and an additional descriptive label. These markings carry double meanings: in the symbolic sense, they announce specific content and hidden messages, while, in the real, more earthbound sense, they indicate different compositional procedures. Thus, the Fanfare from the first movement indicates a solemn occasion expressed within the somewhat limited capacities of a string ensemble, with the effect of the distant fanfares being achieved by alternating the solo group with the orchestra. The Chorale of the second movement is a supreme polyphonic achievement which represents a high moment in Sulek's music, in which the five-part fugue, played con sordino in canonic form by the orchestra is superimposed, as if hovering in airless space, over the chorale, which in fact is the the fugue theme heard in augmentation. The atmosphere of this ethereal musical environment is interrupted by the vivacissimo of the finale. This is a fugue with two thematic subjects developed in sonata form. The first subject is a second version of the main theme of the composition, while the second theme is an unmistakable, albeit anomalous occurrence in Sulek's music, an excursion into folk music. (Text by Dubravko Detoni) Le Concerto Classique no. 2 en sol majeur pour cordes a été écrit en 1952 et sa création a eu lieu le 23 avril 1953 à Zagreb (Croatie) sous la direction de Milan Horvat auquel l'oeuvre est dédiée. Sous-titrée 'A la liberté de l'Esprit et de la Pensée', cette pièce est un concerto grosso dans lequel un groupe de solistes (3 violons, alto et violoncelle) joue constamment avec le reste de l'orchestre, comme il est d'usage dans un concertino baroque. Formule assez inhabituelle, l'orchestre comprend trois au lieu des deux groupes de violons habituels. Pour le compositeur, cette musique s'est intercalée comme un répit entre deux oeuvres dramatiques (le 2e Concerto pour piano et orchestre en Do# mineur et la 4e Symphonie en Ré mineur). Elle se caractérise par l'exposition magistrale des voix qui, à leur point culminant, expriment une extraordinaire plénitude et profondeur sonore. L'intégration thématique de la pièce forme un tout: tous les thèmes principaux sont dérivés du premier thème du premier mouvement. Chacun des trois mouvements est identifiable par son tempo et une griffe complémentaire qui toujours sous-entend une double signification: symboliquement elle annonce un certain contenu au message caché et dans la réalité elle indique un procédé technique toujours différent. Ainsi la Fanfare du premier mouvement indique un événement solennel exprimé avec les ressources quelque peu limitées d'un ensemble de cordes, obtenant l'effet de fanfares lointaines en alternant habilement le groupe de solistes et l'orchestre. Le Choral du second mouvement est une prouesse polyphonique suprême, un des grands moments de la production musicale de Sulek. Sur la fugue à cinq voix, jouée en sourdine par l'orchestre plane, comme en apesanteur, le choral en forme de canon à cinq voix qui est en fait l'élargissement du thème de la fugue. Ce doux ruissellement musical éthéré est interrompu par le vivacissimo du Final. Ce dernier mouvement est une fugue à deux thèmes développée en forme de sonate. Le premier thème est une fugue, une autre version du thème principal de l'oeuvre complète, tandis que le second thème est une incursion manifeste (rare dans l'écriture de Sulek), dans la musique populaire. (Texte de Dubravko Detoni) Gewicht: 0.545
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