Titre	Symphonie #5
Référence article	3197329
Catégorie	Orchestre/Musique de chambre
Sous-catégorie	Musique de concert
Instrumentation	SymO (orchestre symphonique)
Format/Umfang	StPrt (partition d'étude)
Pays de publication	Suisse (ch)
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Année de publication	2006-2007
Compositeur	Zbinden, Julien-François
Durée	32:00
Informations complémentaires/contenu	Dieser Symphonie gibt ein Saxophonquartett - zusätzlich zum Blechbläserregister - eine ganz besondere Note. Das bedeutet jedoch nicht, dass es sich um ein Jazzwerk handelt und noch weniger um ein Konzert mit vier solistischen Saxophonen (Sopran, Alt, Tenor und Baryton). Sie spielen genau dieselbe Rolle wie jedes andere traditionelle Symphonieorchesterinstrument. Im ersten Satz – Ostinato – unterstreicht die kleine Trommel durch einen anhaltenden Rhythmus einen schmerzlichen Lyrismus, der vom Saxophonquartett zweimal kurz unterbrochen wird. In der Coda spielt die Harfe einige Takte, dann verschwindet der Trauerzug in der Ferne. Der zweite Satz – Scherzo – eröffnen, nach einem Paukensolo, fröhliche Trompeten und Posaunen, denen Saxophone und Hörner antworten. Ein leichtes Motiv dient danach als Ausrede zu einem fugenartigen Gespräch der Holzbläser. Der folgenden, grossen, lyrischen Flötensequenz antworten die ersten Geigen. Der Satz geht in heiterer Stimmung weiter und endet mit einem lauten Paukensolo. Der dritte Satz – Adagio (In memoriam Armin Jordan) – ist dem berühmten Schweizer Dirigenten (1932-2006) gewidmet. Ich begann dieses Adagio als mich die Nachricht des Todes meines Freundes erreichte. Mit ihm stellte ich jahrelang die Programme des Orchestre de Chambre de Lausanne für den Westschweizer Rundfunk zusammen. Deshalb kommen am Ende dieses Satzes kurze Andeutungen an Parsifal und den Rosenkavalier vor, zwei lieblingswerke Armin Jordan‘s. Der vierte Satz – Finale – beginnt mit einem Choral. Es folgt ein synkopiertes Allegro der Streicher, dann unterhallten sich die Blasinstrumente, untermalt von einem rhythmisch schwungvollen, jazzartigen Walking Bass Stil Raster, welches die Kontrabässe erzeugen. Der Satz geht fröhlich weiter bis zur Wiederholung des Chorals, der mit einer kurzen Kadenz der Bassklarinette und dann der Harfe endet. Eine kurze allegrissimo Coda setzt der Symphonie den Schlusspunkt. Die Welturaufführung wurde von den Widmungsträgern gegeben: dem Berner Symphonie Orchester - zugleich auch Auftraggeber - und seinem Chefdirigenten Andrey Boreyko, am 1. November 2007 im Kultur-Casino, zehn Tage vor meinem 90. Geburtstag. Julien-François Zbinden, Lausanne, Schweiz, 2007 La particularité de cette symphonie est l'adjonction d'un quatuor de saxophones au registre des cuivres ce qui ne signifie nullement qu'il s'agit d'une œuvre de jazz et moins encore d'un concerto dont les quatre saxophones (soprano, alto, ténor, baryton) seraient les solistes. Ils interviennent dans le discours musical au même titre que n'importe quel instrument appartenant aux registres traditionnels de l'effectif symphonique. Le premier mouvement – Ostinato – affiche un lyrisme douloureux sous-tendu par le rythme immuable d'un tambour. A deux reprises, l'apparition du quatuor de saxophones suspend un instant la voix de la percussion. La coda offre quelques mesures de harpe et la procession funèbre disparaît dans le lointain. Le deuxième mouvement, – Scherzo – après un solo de timbales, s'ouvre par une joyeuse salutation des trompettes et trombones à laquelle répondent les saxophones puis les cors. Un motif léger sert ensuite de prétexte à une conversation fuguée entre les bois suivie d'une grande phrase lyrique à la flûte à laquelle répondent les premiers violons. Le mouvement se poursuit dans une joyeuse atmosphère pour se terminer par un dernier solo de timbales fortissimo. Le troisième mouvement – Adagio (In memoriam Armin Jordan) – est dédié à la mémoire du célèbre chef d'orchestre suisse. Le compositeur commençait l'écriture de cet adagio lorsque survint la nouvelle du décès de son ami avec lequel il avait collaboré tant d'années à l'élaboration des programmes de l'Orchestre de Chambre de Lausanne pour la Radio Suisse Romande. Ce qui justifie, en fin de mouvement, la brève citation de motifs de Parsifal et du Chevalier à la Rose, deux œuvres-cultes d'Armin Jordan. Le quatrième mouvement – Finale – s'ouvre par un choral. Un allegro syncopé est exposé par les cordes suivi par un divertissement des instruments à vents sur un fond rythmique animé par les contrebasses dans le style walking bass emprunté à la musique de jazz. Le mouvement se poursuit gaiement jusqu'au retour du choral qui s'achève dans une brève cadence à la clarinette basse puis à la harpe. Une courte coda allegrissimo met un point final à la symphonie. L'oeuvre est une commande de l'Orchestre de Berne à qui elle est dédiée ainsi qu'à son chef titulaire Andrey Boreyko. Ils furent les interprètes de la création mondiale le 1er novembre 2007 au Kultur-Casino dix jours avant mon 90e anniversaire. Julien-François Zbinden, Lausanne, Suisse, 2007 Gewicht: 0.26
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