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Titre	Der Garten Eden (oder der Engel mit dem Flammenschwert)
Référence article	3115402
Catégorie	Harmonie/Fanfare/Brass-band
Sous-catégorie	Musique à programme
Instrumentation	Ha (orchestre d'harmonie)
Format/Umfang	PrtStm (partition et pièces)
Pays de publication	Allemagne (de)
Editeur *	cliquer ici
Référence article / fournisseur *	cliquer ici
Prix	cliquer ici
Compositeur	Krause, Thomas
Niveau	4
Degrés par pays	D4 (division Supérieur - Allemagne)
Informations complémentaires/contenu	Il fait encore nuit noire sur le « Nemrud ». Le ciel nocturne noir à l’est ne s’éclaircit que progressivement. Il y avait l’ancienne Mésopotamie. Les fleuves Euphrate et Tigre prennent leur source ici, dans la chaîne de montagnes du sud-est de la Turquie. C'est là qu'il aurait été ; le jardin d'Eden. Un paradis où vivaient les premiers humains, Adam et Ève, et d'où, selon les récits bibliques, ils furent ensuite expulsés. C'est très calme au sommet de la « montagne Nemrud », presque inquiétant et le temps semble s'être arrêté. La seule chose que l'on entend, ce sont les appels du muezzine venant des villages plus bas. Leurs appels se mélangent dans un champ sonore étrange mais apaisant. Cela nous transporte à l’époque où vivaient ici les premiers hommes, Adam et Ève. Soudain, nous nous retrouvons dans le jardin d'Eden et entendons une petite mélodie de danse entraînante qui donne une idée de la façon dont la vie dans le jardin d'Eden a dû être insouciante et heureuse. Un jardin plein de fruits, de flore et de faune sous une forme luxuriante, complet et magnifique. Il n'y a qu'une interdiction. Il est interdit de manger du fruit de l’arbre de la connaissance. Mais Adam et Ève sont mis à l’épreuve à plusieurs reprises. Le serpent très rusé parvient enfin à séduire Eve et, contre l'interdiction expresse, ils mangent les fruits de l'arbre « interdit ». Dès que cela se produit, la colère de Dieu s'abat sur Adam et Ève et tous deux sont chassés du paradis. Désormais, un ange armé d’une épée flamboyante garde l’entrée du jardin d’Eden afin que personne ne puisse plus y entrer. L'appel du muezzine nous ramène au présent, c'est le matin sur Nemrud. Le dernier souvenir de notre rêve reste l’ange puissant et féroce à l’épée flamboyante gardant le paradis.
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